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 Un amour en enfer

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titemumu
Bébé des -§-Enfers-§-



Nombre de messages : 3
Date d'inscription : 08/03/2006

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MessageSujet: Un amour en enfer   Un amour en enfer EmptyMer 8 Mar à 15:10

UN AMOUR EN ENFER


Chapitre 1 : La rencontre

Le cœur qui palpite, les bouffées de chaleurs, des papillonnements dans l’estomac, un sourire à chaque fois que je pense à lui, un bonheur continue, une tristesse aussi de me voir seule…si seule sans lui a mes cotés…moi dans ses bras…protégé de sa force…un parfum enivrant, dans mes rêves…toujours lui…le même homme. Je n’arrivais désormais plus à penser à autre chose qu’à lui, la poitrine gonflant presque a chaque fois que je croisais son visage dans les visions, dans une sorte de délire obsessionnel, j’arrivais a le rattraper et lui sauter dans els bras, l’embrasser et enfin lui offrir mon cœur.

Et oui, j’étais tout bonnement tombée amoureuse de quelqu’un, un homme que je n’avais vu qu’une fois pourtant, un homme que j’ai a peine eu le temps de regarder…les minutes c’étaient écoulées si vites…j’aurais voulu que le temps s’arrête pour le regarder encore et encore…mais toujours il partait je ne sais où. Depuis le début notre histoire était paradoxale…c’est lui-même qui ce jour là, m’ôta la vie, laissant mon âme s’échapper pour retourner un peu plus tard dans mon enveloppe...me réincarnant ainsi…ces yeux étaient si froids, et ses gestes si rapides…on aurai dis un homme sans cœur.

Pourtant, il était revenue…je ne sais trop pourquoi me protéger…je le regardais avec mes grand yeux verts pleins d’incompréhension, essayant de pénétrer la carapace qu’il était forgé autour de son âme, essayant de distinguer la moindre lueur de compassion, un sentiment d’amour peut être, d’attirance ou je ne sais quoi. Mais rien…il n’y avait presque pas âme qui vive…on aurait dis une coquille vide…bien solitaire…mais il était revenu pourtant. Au moment où je fus sauvagement assassinée, un soigneur prenais soin de moi…Squal8…tant bien que mal…essayant de m’éviter des frappes mortelles…mais la il n’avait pas réussit et il en fut fort fâché.

Et c’est alors qu’il décida de me venger, venger une mort qu’il trouvait injustifiée, la mort d’une patiente dont il s’occupait du mieux qu’il pouvait, alors quand le beau guerrier fut en proie a une inexpliqué somnolence…certains le frappèrent, lui imposant de douloureuses souffrances. Il était la devant moi agonisant…il aurait été si simple de l’achever…mais pourquoi ne trouvais-je pas la force de le faire...mes mains s’approchèrent de lui, touchant ses blessures, suivant toutes les parcelles de son corps…je le soignait pour une raison qui n’était inconnue…pas al moindre once de vengeance n’avait fait surface…il était juste…revenue me protéger…comment aurai-je pu mettre fin a sa vie.

Nous nous quittâmes…sans presque un au revoir, mais je vis au fond de ses yeux comme une leur d’incompréhension, j’avais tout de même fait réagir une partie de son âme perdu dans tant de sang. Et depuis lors…chaque jours durant, jour et nuit je retournais sur les plaines des barbares, tentant avec un peu de peur au ventre, de voir ce beau guerrier, l’apercevoir seulement m’aurait suffit… je ne connaissais ni son nom ni de quelle famille il était issu. Je me décidais à me renseigner auprès du guérisseur qui avait tenté de m’arracher a une mort certaine ce fameux jour…par miracle…il connaissait certaines choses sur lui.

Amadeus…tu te nommes donc ainsi toi que j’aime tant.

Un beau jour, épuisée par ses nuits courtes, ses nuits où mon lit était trempé de sueur, trempé de larme de désespoir de ne point le revoir, je me décidais enfin à lui écrire une missive, une missive où je ne lui avouerais que mon envi de le revoir sur ces terres, de me sentir à nouveau protégée. Quelques jours plus tard je reçu sa réponse, qui ne me disais que simplement il serai ravi de pouvoir m’aider à nouveau et qu’en cas de besoin il me suffirai de l’appeler. Peut être la réponse m’avais semblée décevante, car jamais je n’eus le courage de lui réécrire.
Toujours prisonnière de mes rêves, par une belle matinée, je crus rêver en voyant, l’homme que j’aimais éperdument entrer dans ma chambre, déposer sur la table une lettre, puis repartir sans aucun geste vers moi, dans mes rêves ils était toujours tendre, cette froideur encore palpable me réveilla en sursaut…ce n’était pas du tout mon imagination, j’en filais rapide ment courrant vers la sortie de l’auberge…mais personne...il avait disparu aussi vite qu’il avait apparu. Je courus vers ma chambre pour lire cette lettre qu’il avait déposé dans mon sommeil.


Chère Titemumu,

Je t’écris cette lettre,
Car je n'en peux plus de garder ça pour moi
Mes pensés ne sont tournés que vers toi
Ma propre vie ne m'intéresse plus si je ne peux vous voir
Tes sourires sont mon oxygène
Ta voix ma nourriture
Sans toi je ne suis plus qu'une coquille vide
Je sais que nous ne nous connaissons pas vraiment
Mais aujourd'hui j'ai appris une chose
Le coup de foudre n'est pas une invention
Tu m'as charmé plus sûrement que l'aurais fait le chant des sirènes
Je suis fou de toi, si la perfection n'existe pas je suis sur que tu es la personne s'en rapprochant le plus sur ces terres
Je ferais n’importe quoi pour toi
Tes désires seront des ordres
La vérité est que je t'aime
Comme je n'ai jamais aimé et comme personne ne peut aimer
Je ne me prétend pas ni mieux ni moins bien qu'un autre
Juste un homme éperdument amoureux
Et j'aimerais savoir si ces sentiments son réciproque


Le cœur à nouveau emplis de joie, je m’empressais de lui répondre le plus rapidement et le plus simplement possible, ne désirant qu’une chose, le rejoindre au plus vite, le sentir, le toucher, et enfin m’offrir à lui, car moi aussi j’aurai été capable de tout pour lui.


Bien sur notre rencontre a été peu commune,
Mais il ne m’en importe peu,
Car seul le résultat seul compte à mes yeux,
J’ai rêvé jour et nuit de te revoir,
J’ai rêvé jour et nuit de te sentir t'approcher de moi,
J’aurai voulu depuis toujours, t’avouer tout mon amour.

Tu ne me laisses pas indifférente mon bel Amadeus je t'aime moi aussi et je ne souhaite qu'une chose, une seule et unique chose que tu me prennes dans tes bras pour l'éternité.


J’envoyais par les airs ma lettre, me préparant à sortir rejoindre le beau guerrier, je fourrais dans ma besace la lettre qui avait maintenant tant d’importance à mes yeux. Courant maintenant dans les escaliers, je brûlais de le revoir enfin. Mais dans ma précipitation, ma lettre s’envola et une amie de longue date m’interpella pour me la rendre…Grenat di Alexandros…toi partie des seigneurs dragons…mais toujours la pour moi, ma tendre amie. Mais la curiosité l’emporta et elle ouvrit la lettre en se dirigeant vers moi et elle laissa s’échapper un cri d’horreur. Elle me conta ainsi, que sa sœur elle-même avait reçue la même déclaration du même homme… je n’osais y croire…je lui arrachais la lettre des mains, courant a chaudes larmes vers l’homme qui m’avais trahit, je voulais pas y croire, je voulais qu’il me dise que tout cela était faux. Quand j’arrivais, dans un état épouvantable auprès de lui, il avait imaginé suite à ma réponse me voir plus joyeuse, et la dispute fit ainsi rage, plus violente qu’une tornade

« Tu m'as trompé...tu m'as menti...je pensais que tu m'aimais vraiment...

j'ai voulu y croire...je me suis senti vivre...et je reçois un coup de poignard....

je viens d'apprendre...que la soeur de ma meilleure ami....viens d'avoir la même déclaration de ta part....

cela est il vrai... ?

si cela est vrai ...comment peux tu me faire ça...moi qui t'ai ouvert mon coeur...moi qui m'offrais a toi le plus simplement du monde »

Son silence fut ma réponse, une réponse qui me déchira le cœur. Il avait trouvé deux femmes…et il hésitait…

« Comment peux tu me faire ça,
Moi qui croyais ton amour sincère,
Tu en aimes une autre, tu attendais simplement que l'une de nous se déclare,
Jamais je ne pensais voir mon coeur en proie a cette souffrance si grande,
Moi qui voulais t'aimer,
Moi qui t'avais rencontré dans de si étranges conditions,
Moi qui me réjouissait d'entendre ta voix,
Moi qui me réjouissait de te sentir me donner un amour,mais cet amour n'est pas réel...

Tu ne cherche qu'une femme comme tous ces pauvres misérables qui cherche seulement une compagnie...

Je ne sais plus que faire, je me sens trahit,
Blessée tout au fond de mon âme... »

« Je ne cherche pas une femme je cherche la femme
Celle qui me fait sourire d'un simple regard
Celle qui me rend heureux d'un simple mot

Si je cherchais une femme comme tu le dit
Il me suffirai de trouver la première femme venue
Mais ce n'est pas ça que je cherche
Je cherche l'amour réciproque
Et je n'ai trouvé que ce moyen pour aider mon âme tourmenter a choisir
Savoir réellement ce que pense chaque femme que mon coeur aime
Savoir si je fonce dans un mur ou si les sentiments sont partagés
Je t'aime Titemumu et je ne veux pas te perdre »

« Mais si tu lui a demandé a elle aussi...
Comment pourrai je savoir si nous n'étions que deux,
Comment pourrai je savoir que tu m'aime moi uniquement,
Comment pourrai je savoir que jamais tu ne me trompera comme tu viens de le faire,
Comme puis je savoir si elle aussi ne lutte pas pour sentir son coeur battre a tes cotés...

que suis je pour toi réellement si tu déclare ta flamme a d'autres femmes qui me sont totalement inconnues... »

« Je part seul
car je ne mérite pas ton amour
errant je suis errant de resterai »

« Et moi seule...à jamais je finirai...car mon coeur ne peux aimer...je ne peux pas même te retenir...et tu t'en vas »

« Je m'en vais car je t’ai faite souffrir »

« Tu t'en vas parce que tu es trop lâche pour vouloir essayer de réparer tes erreurs »

« Je donnerai tout pour réparer mes erreurs
Y compris ma vie »

« Eh bien il va falloir commencer par sécher mes larmes, penser mon cœur
Et être enfin honnête avec moi »

« Je pense tout ce que j'ai dit
et je veux sécher tes larmes et penser ton coeur
j'ai commis une erreur
je le regrette
mais je ne peux revenir en arrière
alors je ferai tout pour me faire pardonner »

« Je veux que tu sois le plus honnêtes des hommes, je veux que tu me fasses confiance...car sans cela je ne pourrai jamais être tienne...je ne cherche pas un amour à sens unique...je ne cherche pas un amour a partager avec une autre....jamais je ne supporterai d'être trompée a nouveau de la sorte...alors te sens tu prêt à respecter cale...ma vie...mon coeur...et la paix de mon âme »

« Oui je suis prêt
C’est même inespéré
je t’ai trahis
mais tu continus à m'aimer
je ferais tout pour me montrer digne de cet amour »

« Ce n'est peut être que mon coeur trop naïf qui parle encore, un coeur qui c'est épris de toi...

mais de nouveau trompé...il ne pourra sans doute plus aimer...et tomberai dans une vengeance rempli de mort et de souffrance a jamais...

alors prends bien garde de le respecter ce petit coeur qui ne bat que pour toi car il pourrai se retourner contre toi pour semer la souffrance.... »

Nous tombions ainsi dans les bras l’un de l’autre, décidant de nous connaître, de nous aimer,et de nous respecter l’un l’autre. Moi qui prône la vie, pour que toujours elle soit une fête, je devrait sacrifier mes opinions, et respecter les choix d’un assassin…quand bien même je serais éclaboussée du sang d’une innocente victime tuée sous mes yeux par l’homme que j’aime plus que tout.
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titemumu
Bébé des -§-Enfers-§-



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MessageSujet: Re: Un amour en enfer   Un amour en enfer EmptyMer 8 Mar à 15:10

Chapitre 2 : La demande en mariage


Amadeus arriva comme à son habitude, à la barbare, sous la tente de Titemumu
l'odeur puante qui caractérise les gens du bien lui piquait les yeux mais il fallait passer outre

« PLACE BANDE DE CLOPORTES», cria t'il

Ce qui, il faut le reconnaître, à un contre trente n'était pas la chose la plus intelligente à faire
alors que certains guerriers du clan avait déjà sortis leurs épées il ajouta

« Rangez vos cure dents les mecs, si j'étais venu là pour la castagne il y a longtemps que j'aurais cramé votre petite tente de bienfaiteur. Non je ne suis pas là pour me battre
mais pour une chose bien plus importante à mes yeux »

Titemumu avait déjà reconnu ma voix et était venu se mettre au premier rang, demandant aux hommes de ranger leurs armes et d'écouter.
Amadeus s'approcha de Titemumu, ignorant le monde autour de lui
il plongea ses yeux dans les siens et lui dit ceci:

« Le sang, le sang toujours le sang
Voila ce qui n'allait pas chez moi,
Cette soif sans fin, ces visions de meurtre,
Il me fallait tuer, il me fallait cette dose de violence,
Sans elle que me restait-il ? .... Rien.
J'ai parcourus ces terres tuant, massacrant tant de personnes innocentes,
Que la raison elle même n'avait plus lieu en mon âme.
J'étais devenu une machine incapable de réfléchir par elle-même,
Dont le seul carburant était la haine,
Une haine inexpliquée et inexplicable,
Tant de souvenirs devenant chaque jours plus lointain.
Pourquoi étais-je ainsi? Comment ai-je put tomber si bas?
J'étais entré tellement profondément dans ce labyrinthe qu'est la folie meurtrière que trouver la sortie m’étais désormais impossible.

Mais tout à changer depuis notre rencontre.
Depuis ce fameux jour,
Un jour comme les autres,
Tellement banal, lassant et avec la perspective de savoir qu'il finirait comme tout les autres.
Aveuglé par mon besoin de sang je t'ai frappée, je t'ai tuée.
Sur le moment, je n'ai pas réalisé,
Aucune pitié tels étaient mes ordres.
Mais pour la première fois je me mit à regretter mon geste,
A me sentir mal d'avoir tuer une innocente,
Ne comprenant pas ce qui m'arrivais je retournais sur les lieux du meurtre
Tu étais là debout, un soigneur à tes cotés.
Je m'approchai, comme dans un état second,
Mais ton guérisseur ne voyait pas les choses de cette manière,
Il m'attaquai, me blessant grièvement, ma vie ne tenant plus qu'a un fil.
C'est alors que tu t'approchais, voyant déjà dans tes yeux ma mort arriver,
Je m'attendais à la recevoir une fois de plus.
Mais elle ne vint pas, tu me soigna, moi ton meurtrier,
Incapable de pouvoir dire un mot je me suis laissé faire,
Ne comprenant rien à ce qui se passait,
Et pour la première fois je crois bien que j'ai eu peur,
Peur de devenir fou, peur de cette incompréhension,
Ne te laissant même pas finir je me suis enfuis sans un mot, sans un regard.

Pourquoi m'a t'elle laissé la vie sauve?
Je ne trouvais aucune réponse,
Des jours et des nuits durant j'ai cherché mais rien, rien du tout.
Je reçu alors un message inespéré, tu souhaitais me revoir
Et même si les raisons de ce souhait m'échappais,
Je le souhaitais également, et je répondis à ta lettre,
Attendant ta réponse impatiemment, demandant à chaque facteur croisé si il avait une lettre à me remettre de ta part.
L'un d'entre eux me répondit alors

« Vous vous êtes amoureux»

Il avait raison, c'est d'ailleurs ce qui lui sauva la vie,
Après des centaines de brouillons, j'arrivais à te dire en quelques phrases ce que je ressentais pour toi,
Retournant à l'auberge la plus proche de notre première rencontre,
Il ne me fut pas difficile de trouver ta chambre et d'y glisser ma lettre sous la porte
Repartant aussitôt mais entendant tes pas dans mon dos je me tapis dans l'ombre,
Pourquoi je ne le sais pas.
Je te vis cette nuit là pour la seconde fois, courir à travers l'auberge,
Et te diriger vers la porte.
Je te regardais, tu étais splendide, comme dans mes rêves, parfaite,
Tellement parfaite que j'en avais presque honte de te désirer
Tournant la tête quand tu regardais dans ma direction,
Tu avais l'air triste et heureuse à la fois.
Puis tu remontais dans ta chambre, tandis que je retournais à la nuit noire
M'apercevant pour la première fois que la pleine lune, en plus de donner une meilleure visibilité lors des parties de chasse nocturne, était quand même magnifique.
Voila que je me m'étais à admirer les étoiles,
Bientôt se seront les fleurs, la musique...

La suite fut moins drôle, j'ai commis de lourdes erreurs,
Et j'ai bien cru te perdre.
Mais tu me pardonnât, me prouvant une fois de plus qu'elle femme merveilleuse tu étais
depuis se jour où ma vie à changé.
Tu m'as ouvert ton coeur, et pour la première fois j'ouvrais le mien.
Tu as brisé d'un sourire la carapace d'insensible que je portais depuis trop longtemps,
Mes pensée ne sont plus tournées que vers toi mon amour
Chaque seconde passées à tes coté valent plus à mes yeux que l'éternité que j'ai passé loin de toi.
Certains m'ont dit que l'amour est une folie,
Si c'est le cas alors je suis le plus heureux des fous
Je ne vis plus que pour ton bonheur,
Je ne vie plus que pour toi mon ange,
Et si je viens en ce jour te dire tous ça
c'est parce que je t'aime Titemumu.
Tu as fait de moi un autre homme,
Et je viens aujourd'hui te le demander officiellement
Veux tu m'épouser? »
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titemumu
Bébé des -§-Enfers-§-



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MessageSujet: Re: Un amour en enfer   Un amour en enfer EmptyMer 8 Mar à 15:11

Chapitre 3 : La réponse


Nous nous connaissions depuis tellement peu longtemps, mais la joie m’envahissait en entendant les mots résonner dans ma tête, je buvais littéralement ses paroles, je me sentais m’envoler dans un monde merveilleux, où je pourrais rester à jamais à ses cotés. Mais très vite je retournais à la rude réalité, je sentais la tension monter, la nervosité grimpait en flèche, et la haine était palpable dans l’air, elle était à son paroxysme. Je savais que jamais je n’arriverais à les calmer.

L’indignation et l’incompréhension étaient à son comble, ils avaient du mal à comprendre les propos du guerrier. Je commençais avec cette nervosité montante à être en proie au doute, je commençais tout de même à me rappeler de la double déclaration qu’il avait faite, étais-je vraiment prête à me marier de suite ? Plus la tension montait, plus je me mettais à douter, tant de gens s’étaient mis à haïr, cet homme que pourtant j’aimais.

Je ne savais plus quoi faire, je ne savais plus que dire, les yeux tous rivés sur moi, un homme contre tous attendait un simple oui, les autres indignés qu’il ai put ne serait-ce que penser que sa demande aurait put un tant soit peu me toucher, et que par-dessus le marché je puisse l’accepter. Devant cette confrontation, qui me torturait l’esprit, je lui dis enfin :

« Mon bel Amadeus, je ne sais que te répondre, j’ai besoin de temps pour y réfléchir, méditer sur notre avenir à tous les deux… j’aurais voulu te dire oui sans y avoir à penser à tête reposer, mais la je ne puis le faire et je le regrette. »

La tension se relâchais enfin, je sentais presque des mines réjouirent derrière moi, face a un seul homme avec une peine immense dans les yeux, comme si mes paroles, pour lui, signifiait un refus pur et dur.

« Ne prends pas mes paroles pour un refus beau guerrier, tu as déjà conquit mon cœur, et je suis tienne, je ne veux juste que deux jours, et nous nous retrouverons au lieu m^me de notre première rencontre »

J’entendais des murmures d’incompréhension derrière moi, mais je savais que j’arriverais bien à les convertir à ma cause tôt ou tard… je m’avançais vers le guerrier pour me jeter dans ses bras et lui donner un baiser passionner, avant de le voir partir, avec une once d’espoir pour nous deux.

« Dans deux jours, sur les lieux de notre rencontre,
je t'attendrai mon amour »

Le voyant partir dans le lointain, acceptant ma requête, mon cœur se déchirais déjà de le savoir loin de moi, mais je devais à tout prix avoir els idées claires, jamais je ne pourrait prendre une décision autrement. Après une longue discussion avec mes congénères et après moult reproches, conseils, je parvins enfin à leur faire comprendre à quel point je l’aimais, et que ma décision serai prise avec ou sans eux. J’avais tout de même le droit de choisir de vivre ou non avec l’homme que j’aime, même si il est vrai que beaucoup de choses nous différentiaient.

Je n’arrivais toujours à rien à la tombée de la nuit, ma décision n’était toujours pas prise. Pourtant…ce n’est pas bien compliqué…cet homme je l’aime vraiment du plus profond de mon cœur, pourquoi est ce que je doute maintenant, moi qui ai tant chercher l’homme, avec qui je voudrais vivre pour l’éternité…il était là devant moi. Je décidais enfin d’aller mon coucher, une bonne nuit de sommeil me reposerai et me donnerai ainsi les idées claires, enfin je l’espérais.

Mais c’était un espoir vain, car mon sommeil fut plus agité que jamais, me remémorant tous les moments avec Amadeus, qui m’ont conduit jusqu'à cette demande en mariage. Il m’avait pas été tendre avec mes sentiments au début il fat le dire, je pourrait même dire que personne ayant un minimum de bon sens ne lui aurai peut être plus jamais accordé sa confiance. Mais j’étais ainsi, et j’avais décidé de lui faire confiance. Tout ce tumulte dans ma tête devait prendre fin, j’avais mal au coeur, ma tête tournait, j’étais mal à l’aise… je me réveillais en sursaut, les habits collés à la peau par al transpiration, la sueur perlant sur mon front…j’avais enfin ma réponse…

Je m’en voulais déjà de l’avoir fait attendre, de lui avoir laissé croire que je doutais de notre amour, je n’arriverais jamais à tenir jusqu’au terme de ma période de réflexion…car ma décision était déjà prise…une seule idée me trottait dans la tête…lui annoncer de vive voix le plus rapidement possible.

Je me préparais ainsi, pour une excursion en plein enfer…

Il était très tôt quand je quittais ma famille pour rejoindre mon amour sur le lieu même où tant de barbarie était perpétrée, j’avais fait ma toilette et revêtu ma plus belle tunique par-dessus laquelle j’enfilais tout mon armement. Après une très longue et pénible marche, et quelques arrêts aux pieds d’un arbre, profitant de la fraîcheur de son ombre, j’arrivais enfin non loin du château, en fin d’après midi. Le moment était des plus propices…c’était l’heure de pas mal de retour dans leur château, des assassins ayant finit leur chasse…je parviendrais bien plus aisément à pénétrer dans le château avec toute cette agitation.

Il ne me restais plus qu’à repérer un groupe un peu désordonné, agité où je pourrais facilement m’immiscer sans que l’on s’aperçoive de quoique ce soit. Je ne du pas attendre plus de vingt minutes, j’entendais au lointain des rires gras et exagéré, des disputes d’hommes et des plaintes de victimes maintenant prisonnières des enfer….Je m’était tapis dans un petit bosquet, attendant leur approche pour m’incruster sans que personne n’y voit rien. A l’approche de château, je m’agitais avec des gestes grotesques, les imitant sans trop d’exagération afin de passer des plus inaperçue.

Un des gardes m’interpella à l’entrée….oh non….je suis faite….

-Viens par ici ma mignonne sinon je viens te chercher de force !

-C’est bon j’arrive, pas la peine de s’énerver.

-Mais c’est qu’elle a du caractère la ptite donzelle ! Jt’ai jamais vu dans le coin beauté, tu sors d’où, nouvelle recrue ?

-Heu, oui…oui… je suis une petit apprentie de chez vous, c’est maître Amadeus qui s’occupe de moi…il m’a envoyée à la chasse pour aller…euh…foutre sur la tronche à des pauvres miséreux…

Je crois que jamais je n’ai su mentir…mais la…devenant rouge pivoine en plein interrogatoire…je pouvait pas être plus crédible…

-Allé viens par la toi faire un gros câlin à ton nouveau copain…c’est pas souvent qu’on voit une ptite donzelle comme toi ici, viens là que je m’amuse un peu, ça fait longtemps que j’ai pas goutté au plaisir physiques.

Il me répugnait au plus au point… une gifle ne me sembla pas suffisant…je lui lançais mon poing en pleine face, le sonnant quelque peu…

-Essaie encore une fois de poser tes sales pattes sur la moindre parcelle de mon corps…et je te garantie une mort des plus longue et des plus douloureuse espèce de gros tas infâme.

Il avait repris ses esprits en même temps que je lui balançais ces mots avec toute la violence qu’il m’ai été donné par ma révolte. Ce sursaut de fureur et de rage, du simplement suffire à le convaincre, car il me laissa entrer en riant entre honte et excitation. Une fois dans le château, je restais bien plus sur mes gardes, mais un problème fondamental commençait à ce poser… ce château était immense…et je ne connaissais pas du tout les lieux, et comment pourrai-je trouver la chambre de mon Amadeus.

Je décidais tout simplement de me promener dans le château, faisant comme si je savais où j’allais…histoire de ne pas rester plantée comme une cruche…et de ne pas me faire repérer trop vite. Plusieurs fois je croisais des gens qui me regardaient, un doute marqué au visage…je n’avais pas la moindre tache de sang sur mes habits, j’attirais déjà bien trop l’attention. Je finissais après dans les cachots, où un tas de corps jonchaient sur le sol, une odeur de mort écoeurante, cette chaire déjà en putréfaction, des hommes tous plus ou moins gravement blessés, attachés et fait prisonniers parce qu’ils ne s’étaient pas assez battu fièrement au goût de leur bourreaux ou qu’ils avaient peut être tout simplement implorer leur pitié…ou je ne sait encore quelle autre raison…il n’y en avait sûrement aucune pour tant de barbarie…

Puis j’entendais derrière moi, qui étais pétrifiée devant ce spectacle un murmure, un soupir a peine audible…

-Tite…mumu

Je me précipitais sur lui, sans réfléchir. C’était un très ancien ami a moi…assis par terre…les plaies béante, il n’était pas dans le meilleur état que l’on puisse souhaiter. Un homme me surpris alors, c’est lui qui avait en charge de torturer et de faire parler les victimes.

-Tiens toi ! Tu me l’amèneras celui là ! Il est en train de se vider de son sang ! Il va mourir avant que je ne le torture…ça serai du gâchis ! Je t’attends en salle de tortures.

Il parti me laissant seule avec le pauvre malheureux

-Je ne lui dirais rie…sois en sure, me disait il, jamais il ne me fera parler…je mourrais libre

-Non arrête de parler, je vais te soigner…je vais te sortir de la…je ne te laisserai pas ici…ne meurs pas…, je commençais a pleurer, savant très bien que je n’étais pas une guérisseuse…jamais je n’arriverai à arriver a bout ce telles blessures…

-Titemumu…non tu ne peux plus rien faire pour moi, il est bien trop tard…s’il te plait…achève moi…je préférerai mourir de ta main que de la leur…par pitié…Fait le pour moi.

Il avait attrapé mes mains et me regardait sans la moindre peur dans le regard…me répétant encore

-Achève moi….

-Non...je…non…je ne peux pas…je en veux pas

Il attrapa le poignard que j’attachais toujours à ma cheville, me le mettant par al suite dans les mains…et le pointant sur sa poitrine

-Si vas y… je n’ai pas peur…, je n’ai plus peur a tes cotés…vas y

Mes larmes ruisselaient sur son torse, se mêlant à son sang, je ne pouvais pas faire ça…lui ôter la vie…mais sans que je ne sache pourquoi…il me lâcha les poignets, m’attrapa la tête et m’embrassant. Il eu le temps de dire un bref…adieu…à dans une autre vie…que j’avais planté le poignard en plein cœur…sans avoir réfléchi. Me rendant compte trop tard de mon acte, je lui retirais le poignard et appuyais mes mais sur la plaie pour qu’elle arrête de saigner…mes mains étaient couvertes de sang…j’était tachée de son sang…mes larmes ne coulaient plus…j’essuyais leur vestige avec mes mains…me barbouillant de sang… je savais au fond…que c’était la meilleure solution à ses souffrances…

Le gardien revint voir pourquoi j’étais si longue…et me vis ainsi maculé de sang…le poignard dans la main droite…un regard vide d’émotion à présent…j’avais accomplit ce qu’il y avait de mieux…je en devais pas être triste…je ne serais pas heureuse non plus de l’avoir fait.

-Qu’est ce que tu as foutu bordel ! Je voulais le torturer…

-Il n’aurai jamais parlé…il méritait une mort digne…je la lui ai donné…je m’en vais maintenant…

-J’te comprend espèce de garce, mais fout plus jamais els pieds ici, tu me gâche mon plaisir !

Couverte de sang…les regard n’étaient plus les même…je sentais une sorte de crainte…le sang sur moi était frai, et il y en avait beaucoup…nombreux durent penser que j’étais intraitable et sans pitié. Des femmes esclaves jouaient les servantes…enfin jouaient…elles étaient utilisées, humiliées, battues violer… Mon Amadeus avait il déjà touché à l’une de ces pauvres femmes…recommencerait il si c’était le cas… ? Ce lieu était vraiment le palais de l’horreur. Leur du repas était arrivé…ils partaient tous manger…je pourrais chercher tranquillement sa chambre sans être dérangée…

J’arrivais à l’étage des chambres enfin…et par chance...le nom de ses occupants était écrit en lettre d’or sur les portes…je ne tardais pas a trouver la chambre, me précipitant enfin dedans avec un soupir de soulagement non dissimuler…je patienterais jusqu’à son retour. J’étais épuisée, éreintée…je vis un bassine d’eau, j’en profitais pour me laver enfin, je me déshabillais laissant tous mes vêtements à coté de la bassine…me débrasant de tout le sang qui était sur moi. Quand j’eu fini, je jetais l’eau dehors et remplissait à nouveau la bassine avec les cruches d’eau pleines juste à coté. Son lit était fait, et avait l’air chaud et confortable, je décidais d’aller me réchauffer à l’intérieur. Je l’attendis longtemps…mais il ne venait pas…il n’avait sans doute pas mangé avec ses amis, peut être n’était il pas rentré déjà la veille…étais ce ma faute….attendait il déjà bien sagement à l’auberge impatient…je n’en avais pas la moindre idée…je commençais à partir…

Mais ce soir la il arriva après…il était rentré très tard…une odeur de sang dans al chambre…il ne comprit pas…des traces de sang restaient sur la bassine, mon parfum était camouflé par cet odeur de sang omniprésente, il vit son lit défait…alors immédiatement…un réflexe simple…l’épée a la main…il se dirigea vers le lit tirant les drap du bout de son épée, il me vit…moi qui étais parti dans un monde de rêve…attendant mon bel Amadeus.

Il avait descendu la pointe froide son épée, elle avait glissée entre mes seins nus, ne me provoquant qu’un léger froncement de sourcil sans me réveiller. Il n’avait pas planté son épée directement dans le lit …pour une raison qui m’est inconnue…il avait vu que quelqu’un dormait là dans son propre lit…il n’avais pas pu sentir mon parfum…sans doute c’est il dit que quelqu’un qui aurai cherché à le tuer n’aurai pas été s’endormir dans ses draps…ou peut être savait il que c’était moi…tout simplement…je ne sais comment. Mais une chose est sur, je m’était endormie nue sous les drap…rien ne dépassant…il n’aurait jamais pu savoir que c’était moi

Il se désarma, et vint me rejoindre dans le lit, moi qui étais nue à ses cotés, sa chaleur m’apaisa totalement…j’avais laissé mes vêtements par terre près de cette bassine, couverts de sang…il n’avait sans doute pas compris…en me mariant avec lui…j’acceptais aussi ce qu’il était…même si je ne pourrait sans doute jamais embrasser sa propre destiné…

Le lendemain matin nous nous réveillions dans le lit enlacés l’un dans l’autre…nous irions enfin annoncer notre mariage a tous haut et fort.
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samthekiller
Diabolotin armé
samthekiller


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MessageSujet: Re: Un amour en enfer   Un amour en enfer EmptyMer 5 Avr à 20:52

alors moi je suis qu'un pauvre con ? /hosto
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haldistress
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MessageSujet: ??   Un amour en enfer EmptyVen 7 Avr à 2:11

je ne voix pas ce que tu viens faire la dedans toi??
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